Qui sommes-nous ?
L'entreprise est née en 2019 après quelques saisons d'apiculture amateur.
Un monde fascinant, mêlant amour de la nature et passion de l'agriculture.
Nous avons la chance d'évoluer entre montagne et garrigue, entre Tarn et Hérault, au cœur du Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc.
Chez nous, il n'y a pas de grande culture, un endroit préservé et privilégié pour nos abeilles, à l'abri de la chimie et autres sources néfastes pour l'environnement.
Une partie de nos ruches est sédentaire, l'autre partie transhume 1 fois pour l'estive vers la montagne pour échapper à la chaleur, à la sécheresse et aux frelons asiatiques.
Nous travaillons en bâtisse libre dans les corps de ruche (c'est à dire que ce sont nos abeilles elles-mêmes qui produisent et construisent les cadres de cire) et avec des amorces de cire bio dans les hausses (pour leur donner un petit coup de pousse).
Nous travaillons pour avoir une abeille qui s'adapte à son territoire, qui nous fera peut être moins de miel, mais que nous n'aurons pas à nourrir dans les périodes difficiles.
Par éthique, nous sommes engagés depuis le début en Agriculture Biologique, une assurance et une garantie pour le consommateur. En effet, nous suivons un cahier des charges stricte : contrôle des aires de butinage, ruches en bois, cire biologique, nourrissement seulement en cas de famine avec des produits bio, traitement des abeilles (contre le varroa) sans chimie etc...
Vous trouverez ici la brochure :
"Le miel bio, qu'est-ce que ça change ? ".
Nos ruches sont peintes à la main avec de la peinture suédoise faite maison (farine, ocre de terre, huile de lin). Nous n'utilisons en aucun cas de la cire microcristalline ou de l'aluminium.
Notre miel est récolté et désoperculé à la main , jamais chauffé ! La propolis est récoltée grâce à des grilles spéciales et de qualité alimentaire, donc pas de propolis de grattage.
Nos ruchers sont constitués d'environ 25 ruches : nous limitons ainsi notre impact et notre empreinte sur les ressources florales et les pollinisateurs sauvages.
Nos ruchers ne sont pas au milieu de champs de colza ou de tournesol, par conséquent certaines périodes appelées creux de miellées sont difficiles à vivre.
Nous avons comme devoir de protéger et de respecter la Terre, pour nos enfants et les générations futures.
